Week-end consacré au Trou du Sablier. Le cheminement est agrandi par endroit, puis une désobstruction est amorcée dans la fissure du Tapis de Fleur de Lotus: ça résonne derrière... L'autre équipe déséquipe le Schwentschlot, puis continue avec de la topo.
Alex commence par une incursion dans la Glacière, où il place un DVA. Ensuite, les spéléos vont dans le L12. Grâce à l'expérience et l'appareil de Roberto, la désobstruction est efficace. Après environ 2h de creuse, nous jonctionnons avec la Glacière: le L12 devient la 42ème entrée du Réseau! Le lendemain, début de la retopoo du L12.
Camp d'automne du 4 au 14 octobre. Une équipe fait de la topo dans la Glacière et deux autres de la désobstruction: une dans le L12, une cavité proche et qui pointe vers la Glacière, où l'autre équipe s'active. Nous progressons, mais pas assez... Les jours suivants, suite des désobstructions: une équipe creuse dans la Glacière et 2 autres équipes vont dans le Trou du Sablier. Une autre équipe explore et creuse dans le E12.4, avec arrêt sur puits. Le lendemain, ils aboutirons dans le Réseau= encore une nouvelle entrée! Le Méandre Chortkiv reçoit plusieurs visites, soit en passant par le CCC2, soit par le Filtereingang. Découverte de la zone Crimea (de Crimée et non pas d'une activité sanglante!) qui occupe plusieurs expés. Cette zone offre de belles galeries. Une équipe continue la désobstruction commencée par Maric dans la Glacière. Elle débouche dans une petite salle basse avec des os de petits rongeurs et de chauve-souris. Il semble qu'il y ait un peu de courant d'air => la désobstruction continue... Comme dans le L12, où une une équipe creuse pendant 8h d'affilée. Maric se lance dans la fabrication d'une nouvelle fontaine en bois. Les participants repartent le 11, sauf Maric et Alex qui restent encore 3 jours. Pendant que Maric fini sa fontaine, Alex va dans la Glacière pour compléter ses dessins. Il installe aussi une corde à noeuds pour faciliter l'accès aux plafonds. Le reste du temps se passe en nettoyages et réparations de matériel. Nous plaçons aussi quelques étais pour soutenir le toit pendant l'hiver.
Camp d'automne au Sivellen. Le 14 et 15 septembre, poursuite de l'exploration de R-Stone 6. Après le retour en plaine de Roland, François a fait de la topo tout seul et de la prospection dans une zone contiguë: Smile.
Les 13 et 14 septembre, nous retournons vers la Glacière et faisons la topo de surface pour le E6.7. Ensuite, nous commençons la topo de boyaux dans les plafonds de la Galerie principale de la Glacière, puis faisons la retopo de l'accès au P65. Pendant qu'Alex dessine, Maric commence à creuser dans un cul-de-sac où persiste un petit espace au plafond.
Nous commençons la retopo de la branche Est de la Glacière, ainsi que la topo des galeries latérales. A l'époque, la topo ne comprenait que la galerie principale et les points n'ont pas été matérialisés ou sont disparus. La retopo est indispensable pour pouvoir brancher les nombreuses galeries latérales.
Montée en téléphérique. Equipement de la zone de puits repérée en 2013, descente et topographie. Grosse surprise: ça continue partout. Deux jours d'explo.
Camp post-congrès du 12 au 18 août. Le lundi, il pleut à verse. Alex emmènent les 2 courageux congressistes restants visiter le Tropfloch en remplacement de la Glacière. Pendant ce temps, Florian en guide 4 dans le CCC2, où 2 personnes abandonnent déjà au bas du 1er puits... Les jours suivants, sont consacrés à la zone près de la Glacière. Nous topographions la nouvelle entrée et désobstruons une nouvelle cavité proche, qui devient le E6.7. Nous mettons toute une série de croix sur les trous inintéressants. En milieu de semaine, Alex et Sara vont à l'autre bout du lapiaz, creuser dans le E12.4, pendant que Florian et Philip désobstruent dans le E12.1 (Filtereingang). La première équipe a plus de succès que la deuxième, mais il reste encore du travail. Marc L. et sa famille viennent se promener une journée sur le lapiaz. Ils repartent avec 2 échantillons de serpentine. En fin de semaine, retour dans la Glacière. Une nouvelle branche est trouvée et explorée. Dans une autre partie, une équipe commence une désobstruction.
Initiation de Félicien à la spéléo. Nous allons à la Glacière, qui permet de surveiller le passage du fractionnement depuis les abords du puits d'entrée. Alex doit contrôler les équipement en prévision du camp post-congrès. il installe une corde sur la pente de glace. Dans la foulée, nous explorons un trou proche. Et, surprise, nous débouchons dans le Réseau, qui gagne une nouvelle entrée!
Topo: petite galerie dans les blocs de la 1e Galerie, re-visées dans le Labyrinthe, jonction avec point du Cadastre sur la Cascade (topo de surface). Résultats: avec la nouvelle topo des siphons Sourde-Cascade de Patrick, cette topo de surface boucle à moins de 5m avec l'autre point du Cadastre vers la Sourde. L'incertitude sur les coordonnées de l'Entrée (Cascade) est donc bien réduite.
Topo: re-visées 4e Galerie (Les Rails, Le Petit Train, photo P. D.) jusqu'au Lac du Fumoir, et au bas de la 2e Galerie pour fixer précisément le point bas du plafond qui siphonne en crue (photo P.D.).
Nous équipons le F5.7, trouvé ce printemps et faisons la topo. Dans une doline proche, nous cassons un bloc, mais ça ne suffit pas pour le passage d'un spéléo. Nous mangeons les 1ères myrtilles de l'année.
Nous passons un w-e prolongé sur le massif, l'habituel camp d'été étant déplacé en août à cause du congrès Sinterlaken. Nous passons la 1ère journée vers le L13, numéroté E3.2 lors de la nouvelle topo de surface. Nous faisons un essai de désobstruction dans un trou proche qui a beaucoup de courant d'air. Le lendemain, nous faisons une expé photos dans le Tropfloch, en prévision d'une présentation au congrès. Le 3ème jour, retour au L13/E3.2 pour la topo, puis le déséquipement du trou. Les 2 jours suivants, nous retournons dans les grès. Nous faisons la topo de surface pour le G10.2, nouvelle cavité labyrinthique où nous prélevons des ossements. Nous commençons la topo souterraine et faisons des photos. Il y a des traces récentes d'animaux.
Nous retournons vers le F5.5 avec du matériel de désobstruction. Alex dessous et Maric en surface afin de repérer d'où vient la lumière de la galerie latérale. Après 1-2 heures de creuse, le passage est ouvert et cette entrée devient le F5.7. Le lendemain, topo et topo de surface. Nous faisons un essai de désobstruction dans un trou souffleur en bordure de névé. Arrêt sur un gros bloc barrant le passage.
Visite et topo de surface d'une des grottes à Farinet (plusieurs cavités portent ce nom, en Valais et en France voisine!). C'est une cavité tectonique dans la roche cristalline.
Nous parcourons la zone F5: les trous sont bien ouverts, il reste peu de neige alentours. Alex s'enfile dans le F5.5 dans l'espoir de voir un point topo bleu fait en haut d'une cheminée du Réseau. Échec, mais par contre, il repère une galerie latérale avec la lumière du jour.
Nous allons faire la topo d'une cavité recoupée par la carrière. C'est le prolongement d'une ancienne cavité inventoriée, mais presque entière disparue suite à l'exploitation de la carrière. Il n'en reste que 25 mètres.
Rapide passage dans la première galerie de la grotte de Môtiers pour y prendre quelques photographies de vermiculations. Grâce à nos images précédentes, nous avons pu identifier deux zones où les vermiculations semblent avoir bougé au cours des deux dernières années. Nous voulons en avoir le coeur net et donc reprendre des photos. Sur place, il est clair que les vermiculés ont bougé sur un des deux endroits, sur l'autre c'est moins clair. Après cette visite rapide, je vais me défouler dans la haute neige pour voir les trous souffleurs repérés il y a presque trois ans dans la forêt des Cornées. Départ des Verrières en raquettes, montée aux alentours du gouffre Moussu. Les trous souffleurs sont bien visibles. Il faudra vraiment organiser une équipe pour creuser, car ça doit être une entrée supérieure du réseau de l'Areuse.
Les plongeurs sont prêts! Nous allons donc les aider à porter leur matériel, pour qu'on ait enfin une idée de ce qui se trouve derrière le siphon de la Cathédrale (ou siphon Legorck). Pendant la plongée, nous allons topographier quelques petites galeries, alors que d'autres vont se promener dans la galerie de l'Entonnoir (réseau supérieur). Les plongeurs font une centaine de mètres de première dans une large galerie remontante. Ils lèvent un belle topo, ce qui nous permet de savoir où ça et ils filment leur explo, c'est presque comme si on y était. Arrêt sur siphon/lac qui semble facile à passer. Il y a deux galeries latérales, une dans un siphon, l'autre dans une cheminée un peu boueuse, mais d'assez grandes dimensions. Le développement topographié de la cavité atteint 1700 m.
Une plongée du siphon du bas de la Cathédrale a été organisée par le SCVN-D et le SVT. Une quinzaine des kits contiennent le matériel nécessaire pour que les deux plongeurs puissent équiper et topographier le siphon. Comme nous sommes une grande équipe de porteurs, le matériel est acheminé assez rapidement, ce qui laisse le temps à trois d'entre-nous d'aller faire un peut de topo. Nous allons donc peu après le Lac de la Vire et topographions la boyau descendant sur la gauche. Vu sa configuration en tire-bouchons, nous l'affublons du nom de "Boyau hélicoïdal". Dix-neuf visées nous permettent de lever 80 mètres de topo pour descendre quasiment au niveau du siphon. La galerie continue, mais est très humide. Un équipement serait nécessaire pour continuer. Pendant ce temps, les plongeurs ont fait le boulot prévu et nous savons maintenant que le siphon part en direction ENE pour une trentaine de mètres. La suite est ouverte, ça sera pour leur prochaine plongée. Merci à Bernard Haenni et Michel Stocco pour l'aide à la topo. Merci aux plongeurs (Arnaud Conne et Nico Boisard), ainsi qu'à tous les porteurs.